Le vendredi 11 février ont été présentés, par le secrétariat général du rectorat de Besançon et les responsables de l’élaboration de la nouvelle carte cible, les critères et de la démarche retenus. Étaient présentes les IA-IPR et IEN intéressés, des personnels de la DOS, des représentant•e•s des OS et des personnels concernés. La nouvelle mouture de répartition a été présentée comme une « réactualisation » pour aboutir à quelque chose de plus « lisible et compréhensible » tenant compte des « remontée des chefs d’établissement ». L’ancienne carte s’appuyait sur un certains nombres de principes en accord avec la circulaire de 2016 avec une valorisation de critères quantitatifs : effectifs (nombre d’élèves de l’année 2 du cycle de chaque formation), nombre de PFMP organisées, nombre de plateaux techniques, nombre de diplômes (voie scolaire), nombre de professeurs rattachés à l’action du DDF et qualitatifs : (nombre de sites, support d’une Plate Forme Technologique, PFT et/ou d’un Campus de Métiers et des Qualifications, CMQ). La nouvelle renvoie à la valorisation mathématique d’un score « diplômes » et d’un score « complexité de la structure ».
Cette nouvelle carte est censée s’appliquer pleinement à la rentrée 2024 avec premiers ajustements dès l’an prochain : elle n’a pas vocation à réduire le nombre des postes concernés mais ne fait pas l’économie d’un plafonnement (1035 heures). Compte tenu du poids des missions, de la charge de travail actuelle mis en avant au cours du GT et dans l’optique de ré industrialisation en vigueur, il est loin d’être acquis que l’ensemble des établissements et des personnels concernés se retrouve dans une démarche de redéploiement…
Prochain groupe de travail le 8 mars, avec réflexion sur les examens et la technicité des diplômes.