On entend trop souvent dire que les personnels d’enseignement, d’éducation et de psychologie du second degré travaillent peu et ont beaucoup de vacances.
Trop souvent, le débat public et les projets de réforme se font autour de ce stéréotype. La réalité, c’est qu’en intégrant le « travail invisible », les corrections de copies, les réunions, la préparation des cours, l’accueil des familles, le suivi des élèves... nous travaillons beaucoup et nous sommes mal payés.