Après un premier boycott intersyndical, la FSU a décidé de relayer la mobilisation des collègues contre la politique éducative, pour de meilleures conditions de travail et de rémunération.
Après la grève unitaire du 1er février, le rapport de force est engagé, dans la perspective d’une action forte en mars si le gouvernement ne répond pas à la crise que traverse l’Ecole.
Depuis 2018, les organisations syndicales n’ont aucune réponse aux questions soulevées sur le terrain, aux demandes légitimes des collègues.
La FSU ne participera à la gestion de la pénurie, à la distribution des quelques miettes d’heures à certains collèges, en oubliant tous les autres.
A l’ouverture de la séance, les représentant.es de la FSU ont lu et transmis une déclaration aux autorités départementales et académiques, avant de quitter la salle.
Les documents de préparation de rentrée :